Maïa JANNEL, un parcours guidé par les relations humaines avec D-Habitat
De la culture à l’accompagnement immobilier : une trajectoire singulière et alignée
Changer de vie, c’est parfois renouer avec ce qui nous anime profondément : le lien humain, l’autonomie, le sens. C’est ce que Maïa JANNEL a accompli avec lucidité, en quittant le monde de la culture pour s’épanouir dans l’immobilier. Aujourd’hui, elle exerce en tant que mandataire immobilier indépendante au sein du réseau D-Habitat, avec un statut en portage salarial via Freecadre Immobilier. Un équilibre rare entre liberté, accompagnement et engagement personnel.
Une première vie artistique
Maïa décroche un Bac+2 culturel à la Sorbonne, complète sa formation jusqu’à la maîtrise. Diplôme en poche, elle devient cheffe de projet à Nanterre mais très vite, le format salarié ne lui convient pas. Dès lors, dans le cadre de missions temporaires, elle accompagne des artistes dont le compositeur Nicolas Frize, collabore avec le Ministère de la Culture… Elle explore d’autres voies, vit à Londres, revient, alterne missions en tant qu’à agent artistique et autres expériences avant de s’installer à Montpellier en 2008 (en passant également par Perpignan et Narbonne). C’est là, qu’en 2011, elle co-fonde son propre bureau de production dans les arts vivants (théâtre et danse contemporain), qu’elle porte avec sa binôme Sonia pendant plusieurs années.
Une transition naturelle vers l’immobilier
En 2019, alors que sa carrière dans le milieu artistique fonctionnait très bien, Maïa fait le choix de changer de voie. Elle dresse la liste de ses envies… découvre que le métier de mandataire immobilier lui correspond parfaitement. Elle décide alors de quitter le monde de la culture pour se lancer.
« Comme agent artistique, je faisais déjà de la négociation, de l’accompagnement, de la contextualisation. L’immobilier, c’est aussi accompagner des projets de vie. C’était la suite logique. »
Maïa débute dans l’immobilier en février 2020 au sein de l’agence Ma Maison au Sud, créée par Virginie SYLVESTRE. Le Covid-19 ralentit ses débuts, mais Maïa ne perd pas de temps. Elle se forme en ligne, absorbe des connaissances, affine son expertise. En moins de deux ans, elle devient autonome et performante, portée par un accompagnement de qualité et une approche bienveillante de Virginie.
Son statut d’auto-entrepreneuse atteint vite ses limites : elle dépasse les plafonds. Hors de question pour elle de redevenir salariée ou d’entrer dans un réseau contraignant. Elle se tourne alors vers une solution sur-mesure : le portage salarial.
Le choix du portage avec Freecadre Immobilier
Après une étude approfondie du marché, Maïa opte pour Freecadre Immobilier, spécialiste du portage salarial dédié aux professionnels de l’immobilier. Cette formule lui offre le cadre légal, la sécurité, tout en conservant son indépendance totale.
« J’ai besoin de structure, mais aussi d’autonomie. Avec Freecadre, j’ai les deux. Tanguy d’Amecourt est un dirigeant accessible, à l’écoute, humain. »
Nouvelle aventure avec D-Habitat
En avril 2023, Ma Maison au Sud est vendue et Maïa rompt son contrat 2 mois après. Grâce à ses échanges avec Tanguy d’Amecourt, elle découvre que le réseau D-Habitat permet à ses mandataires de travailler en toute autonomie sous leur propre marque. Idéal ! « Avec D-Habitat, je peux continuer à incarner ma vision de l’immobilier. C’est fluide, humain, structuré. »
Les relations humaines au cœur de son métier
Aujourd’hui, Maïa travaille à 100 % à la recommandation. Après un peu de prospection à ses débuts, son réseau et ses client·e·s satisfait·e·s parlent pour elle.
« Je préfère refuser un bien si le feeling ne passe pas. Et à l’inverse, je m’investis à fond si j’ai vibré pour la personne, quel que soit le type de bien à vendre. Les relations humaines guident mes choix. »
Son authenticité est son atout maître. Elle affiche la même énergie sur les réseaux sociaux qu’en rendez-vous client. Et ça marche.
Ses conseils pour ceux qui veulent se lancer ?
« Il ne faut pas aimer l’immobilier mais les gens ! Il faut être ouvert·e, réactif · réactive, neutre, savoir absorber le stress, rester soi-même et ne pas se comporter comme dans le salariat. Le service client avant tout. »
L’IA comme assistant, pas comme remplaçant
Maïa utilise ponctuellement l’intelligence artificielle – Siri, ChatGPT – pour gagner du temps, surtout en mobilité. Mais elle reste critique :
« Je vois trop d’annonces écrites par l’IA. C’est propre mais sans âme. Moi, je veux que chaque bien raconte une histoire. Les relations humaines doivent rester au cœur de tout »
Maïa nous confie aussi qu’elle a essayé quelques logiciels d’estimation mais qu’elle n’a pas été convaincue.
Une analyse lucide du marché immobilier
Selon Maïa, le marché reste tendu : les prix stagnent malgré un regain chez les primo-accédants et les seniors. L’instabilité économique et géopolitique freine la reprise durable. Elle compare même la situation actuelle au choc pétrolier de 1973 qui a duré plusieurs années.
« Les prix de l’énergie, de l’essence, du frigo même, sont mes indicateurs. Et pour l’instant, c’est encore haut. »
Une femme qui fait les choses à fond
Pas de passion unique chez Maïa : elle s’intéresse à tout, en profondeur. Ce qui la motive ? Le lien humain. Depuis l’enfance, elle aime rencontrer, échanger, tisser des relations. C’est ancré en elle.
Quant à ses projets futurs ? Elle préfère les garder secrets… pour le moment, nous dit-elle enjouée.
Changer de vie grâce à l’immobilier, c’est possible, quand on sait ce qu’on veut – et surtout, ce qu’on ne veut plus. Le parcours de Maïa Jannel en est une belle démonstration. Grâce à son exigence, sa curiosité et sa vision profondément humaine du métier, elle a trouvé chez D-Habitat un réseau à son image, et chez Freecadre Immobilier, le cadre souple et professionnel dont elle avait besoin. Une belle alliance de liberté, de structure… et de valeurs.
Pour en savoir plus ou collaborer avec Maïa Jannel : contact@maiajannelimmobilier.fr – 06 51 10 43 64 – Facebook+ Instagram + LinkedIn
